Par Louis-Charles Marsolais
L’enfance
Une enfance magique, pleine de monstres, de grenouilles et de mondes imaginaires.
J’ai vécu mon enfance dans une maison, sur le bord d’un lac, avec une immense plage de sable en guise de cour arrière.
Ma famille était douce, accueillante et énergique.
Un père fonctionnaire qui se plaisait (et se plait toujours) dans de beaux complets et dans un visage aux traits sérieux qui ment sur sa réelle personnalité d’homme doux et gentil.
Une mère magnifique aux cheveux bouclés et au visage angélique. Une comptable qui détestait les chiffres et qui se cachait pour exprimer sa vie par les jolies notes de sa flute traversière.
Une grande sœur toujours présente pour absorber mes paroles blessantes, mes coups, et mon énergie inépuisable.
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La vie se lasse de voir des gens trop heureux.
Elle m’enleva ma mère un vendredi matin, en laissant sa voiture se percuter à un camion.
L’adolescence
Je suis alors devenu un garçon troublé, plein de rage, assoiffé de fuite.
J’ai découvert la drogue, un peu trop.
J’étais un de ces monstres qui a hanté mon enfance, vide, sans ambitions, méchant et haineux.
Cette période de ma vie ne m’intéresse pas encore assez pour que je puisse en rajouter sur le sujet, ça viendra.
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À 18 ans je me suis soudainement redressé.
J’ai dit au revoir à la drogue, j’ai travaillé extrêmement fort pour redevenir qui j’étais vraiment.
J’ai commencé à écrire, puis à chanter mes écrits.
Maintenant
Je fais de la musique chaque jour, je me sens vivant, je suis plein de rêves.
Je partage des relations saines avec les gens que j’aime.
Espoir est mon mot favori.
J’adore les jolies filles, les cigarettes et les gens qui parlent beaucoup.
Je pense trop, je dors mal et j’adore cela.
Ma musique se distribue au Japon, en Europe, aux États-Unis, même ici.
Je lance un deuxième album début octobre.
Mon trop plein d’idée me donne trop souvent mal à la tête et je me dois de me diriger dans un domaine où ce même mal pourrait me rapporter quelques sous.
J’ai découvert le monde moderne de la publicité et maintenant je sais ce que je serai quand je deviendrai grand.
Le stratagème du trio, consiste à se faire engager afin de briser des couples, mais seulement lorsque les femmes sont malheureuses. Le tout se passe dans le décor enchanteur de Monaco, ce qui ajoute une touche de beauté et de glamour à l’image. Les gags sont bien placés et même parfois imprévus, cependant ne vous attendez pas à un humour typiquement français. Romain Duris nous en met plein la vue avec sa nonchalance dans un rôle qu’il n’est guère habitué à jouer. Allez donc contempler cette réussite technique et artistique.
Beau grand jeune homme, aux cheveux bruns bouclés, aux yeux d’ange et au sourire ravageur. Nous tombons vite sous le charme de L’Arnacoeur (Romain Duris), incarné par l’acteur français Romain Duris. Dès son apparrition à l’écran, il réussi à nous charmer, avec son sourire séducteur où il incarne avec brio son rôle de briseur de couple professionnel. Pour conquérir le cœur de la belle Juliette, incarné par la splendide Vanessa Paradis, il devra surmonter plusieurs péripéties qui vous ferons rire de plaisir. Avec des prises de vues extraordinaire de Marrakech, au Maroc, et de Monaco, où ce déroule la majeur partie du film, vous serez séduit par l’histoire d’amour dédié aux rêveuses.
